Né dans une famille chrétienne noble (père romain et mère palestinenne), à Lydda en Palestine, à la fin du IIIe siècle.
Il fut élevé par l'empereur Dioclétien au titre de tribun de sa garde.
En l'an 302, Dioclétien publia un édit selon lequel chaque soldat chrétien devait être arrêté et offrir un sacrifice aux dieux païens. Mais Georges s'y opposa
Georges renonca haut et fort à l'édit de l'empereur, et face à ses camarades et tribuns, clama sa foi en son Dieu.
Dioclétien tenta de convertir Georges; lui offrant des cadeaux, de la terre, de l'argent et des esclaves, en retour d'un sacrifice aux dieux païens. Mais Georges n'accepta rien.
Conscient de l'inutilité de ses efforts, Dioclétien n'eut d'autre choix que de l'exécuter. Avant l'exécution, Georges distribua sa richesse aux pauvres tout en se préparant. Après plusieurs scéances de torture, il fut décapité devant la muraille de la ville de Nicomédie.
Il est depuis, considéré comme un martyr.
Mais également comme un Saint "militaire".
Méprise ténébreuse qui prétend que l'on prenne dorénavant les armes pour aller combattre en son nom.
Pourtant, le valeureux guerrier qu'était Saint Georges est, comme le Christ, mort en refusant les armes.
Le courage a l'état pur!
Car nul n'est censé versé de sang pour son Dieu, sinon le sien!
Quant à l'icone du Saint et du dragon, elle n'est que le symbole de son combat contre l'occulte.
